Enjanvier 1998, il est chargé du commerce et de l’artisanat dans le « contre-gouvernement » du FN supervisé per Jean-Claude Martinez et il est élu conseiller général du canton de Noyon. Sa voix permet à Jean-François Mansel (RPR-UMP-LR) de garder la présidence du conseil général de l’Oise. Il ne se représente pas en 2004.
Actualités des Archives de la Vendée : qu’avez-vous manqué en 2021 ? SALLE DE LECTURE (information du 04-01-2022) Ouverture du lundi au vendredi de 9h à 17h30 en continu. Nombre de places limité à huit, réservation au 02 28 85 78 00. Passe sanitaire non nécessaire (décret n°2021-955 du 19 juillet 2021).
Ala demande du gouvernement algérien, les actes concernant les autochtones devaient être occultés lors du microfilmage. Ce sont ces microfilms qui ont fait l’objet d’une numérisation. A l’initiative du ministère de la Culture, il a été établi en 2003 une base alphabétique des actes de 1830 à 1904, aux noms et prénoms, qui facilite l’accès aux images numérisées.
Algérie(Période coloniale). Archives Voir les notices liées en tant qu'auteur Titre(s) : Archives du Gouvernement général de l'Algérie. Série X, dons et acquisitions diverses [Texte imprimé]. Répertoire par G. Esquer, et E. Dermenghem, Publication : Alger : impr. de E. Imbert, 1954. Description matérielle : In-8°, 168 p. Identifiant de la notice : ark:/12148/cb338544170
Lesdouanes ont affirmé que le gouvernement n'a accordé aucune autorisation d'exportation des marchandises de produits alimentaires subventionnés de large consommation via les postes frontaliers du Sud, a indiqué un communiqué de la Direction générale des douanes dont l'APS a reçu une copie. Suite à la demande d'intervention formulée par des membres du Conseil de la
Noustenterons ici de faire un résumé des causes et des conséquences de la guerre d'Algérie, conflit qui eu lieu de 1954 à 1962 désignant la guerre d'indépendance de l'Algérie, appelée aussi Guerre de libération nationale. Historiquement, l'Algérie a été un territoire à part entière pour l'Empire colonial français.
Historiquede la conservation et modalités d'entrée . L'arrêté gubernatorial du 6 avril 1908 qui créait le service d'archives du Gouvernement général avait prévu dans son article 3 que « Les documents algériens ou concernant l'Algérie autres que ceux de l'administration centrale et présentant un intérêt historique pourront, sur l'ordre du Gouverneur général, être versés aux
Désignationd'un scientifique de l'Institut Pasteur d'Algérie en qualité de membre du groupe consultatif technique de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), pour la biosécurité. L'Institut Pasteur d’Algérie se félicite de la désignation de l’un de ses scientifiques, en l’occurrence le Dr HACHID Aïssam, Chef du Laboratoire
Lesite web officiel des Archives de la Ville de Bruxelles, capitale de la Belgique.
Nominationdu ministre secrétaire général du gouvernement. La Présidence de la République a annoncé mardi que sur proposition du Premier ministre, et en vertu d’un décret en date de ce jour, M. Diallo Amadou Samba est nommé ministre secrétaire général du gouvernement.
xJNhFZe. The store will not work correctly in the case when cookies are disabled. / Description Titre La foule devant le palais du gouvernement général de l'Algérie, lors de la visite de Jacques Soustelle à Alger. / Informations techniques Plus d’information Procédé original Négatif Format d'origine 6x6 Support d'origine Acétate Couleur Couleur Orientation paysage / Propriétés Plus d’information Référence ALG 58-32RC RC4 Date de début 25/05/1958 Date de fin 25/05/1958 Inconnu - Lieux Alger - Algérie - Origine SCA/Algérie service cinématographique des armées en Algérie Mention obligatoire © Auteur inconnu/ECPAD/Défense
Occupée par la France en 1830, l'Algérie devient en 1954 le théâtre de la plus douloureuse guerre de décolonisation qu'ait connue la France et même l'ensemble des pays européens. C'est le résultat des maladresses gouvernementales, de l'égoïsme obtus des colons européens et des brutalités sans scrupules des indépendantistes musulmans. Une guerre sans nom » Encouragés par la défaite française en Indochine, les indépendantistes algériens lancent une trentaine d'attentats plus ou moins désordonnés le 1er novembre 1954. C'est la Toussaint rouge » récoltes incendiées, gendarmerie bombardée... On compte sept victimes, toutes musulmanes sauf un instituteur venu de métropole. Peu après est créé au Caire le Front de Libération Nationale FLN, par Ahmed Ben Bella, un indépendantiste en rupture avec le MTLD de Messali Hadj, qu'il juge trop modéré. Le FLN et les messalistes, rassemblés au sein du MNA Mouvement National Algérien, vont dès lors se livrer un combat meurtrier qui se soldera par le triomphe du FLN. Sur le moment, la Toussaint rouge » passe inaperçue dans l'opinion française. Le 25 janvier 1955, le président du Conseil Pierre Mendès France nomme au gouvernement général de l'Algérie l'ethnologue Jacques Soustelle 44 ans, homme de gauche, pacifiste, résistant et gaulliste de la première heure. Il se rallie à la thèse radicale de l'intégration et prône l'octroi de la nationalité française pleine et entière à tous les habitants. Mais les fellagha » coupeurs de route du FLN multiplient les meurtres de notables musulmans favorables à la présence française. N'arrivant pas à retourner la population musulmane en leur faveur, ils changent de tactique et s'en prennent aux Européens. Ce sont les massacres de Philippeville 20 août 1955, véritable tournant de la guerre. Dès le 23 août 1955, le gouvernement décide le rappel du demi-contingent libéré en avril et le maintien sous les drapeaux du premier contingent de 1954. L'année suivante, le socialiste Guy Mollet accède à la présidence du Conseil. Il annonce des réformes de structure et rappelle Jacques Soustelle. Mais quand lui-même se rend à Alger, le 6 février 1956, il est conspué par la population. C'est la journée des tomates ». Guy Mollet revient à une politique de répression. Les musulmans basculent dans le camp de la rébellion En avril et mai, l'extension de la rébellion le conduit à rappeler partiellement les classes 1951 à 1954. Les effectifs engagés passent de 200 000 en début d'année à 400 000 en juillet dont une moitié de musulmans algériens harkis, tirailleurs.... Mais la répression brutale fait basculer dans le camp de la rébellion de plus en plus de musulmans. Les maquisards, qui étaient à peine un demi-millier à la Toussaint rouge » sont désormais plus de quinze mille. Le FLN décide de s'en prendre aux villes mêmes, où vivent la plupart des pieds-noirs. Quelques dizaines d'Européens trouvent la mort dans les embuscades, ce qui ouvre le cycle des représailles aveugles. Le 10 août 1956, un groupe de pieds-noirs, parmi lesquels un policier, déposent une bombe dans la Casbah d'Alger. On compte 70 morts de tous âges. La réplique ne se fait pas attendre. Le 30 septembre 1956, deux bombes déposées par des jeunes femmes musulmanes explosent à Alger, l'une au Milk Bar de la place Bugeaud, l'autre à la Cafétéria, rue Michelet. Désespérant d'en finir avec les attentats aveugles, le gouvernement confie le 7 janvier 1957 au général Jacques Massu les pleins pouvoirs de police sur le Grand Alger 800 000 habitants dont une moitié de musulmans. Multipliant les arrestations, pratiquant les exécutions sommaires et les tortures, les parachutistes peuvent se flatter au bout de neuf mois d'avoir gagné la bataille d'Alger ». Mais ce faisant, ils n'ont en rien gagné la guerre d'Algérie. Lassitude de l'opinion publique métropolitaine Le 12 décembre 1958, le général Maurice Challe succède à Raoul Salan à la tête des forces stationnées en Algérie. Il arrive à annihiler presque complètement la capacité de nuisance des indépendantistes, à Alger comme dans le djebel la montagne. Mais les chefs du FLN réfugiés à l'étranger n'en poursuivent pas moins leurs actions. Dans le camp d'en face, l'opinion publique métropolitaine se lasse de la guerre. Le gouvernement est intimement convaincu de l'impossibilité de garder au sein de la République un territoire aussi atypique que l'Algérie. Il juge le moment venu de négocier avec les indépendantistes modérés ». Les pieds-noirs » d'Alger dico s'en inquiètent et leur révolte, le 13 mai 1958, amène au pouvoir le général de Gaulle. Celui-ci promet d'une manière évanescente de leur donner satisfaction. Désespérant de trouver des interlocuteurs modérés au sein du FLN, le général de Gaulle propose la paix des Braves » le 23 octobre 1958 avant de consentir à l'autodétermination le 16 septembre 1959 sans avoir obtenu entretemps une quelconque concession. Ce double jeu suscite d'ultimes sursauts de violence dans les deux camps, chez les indépendantistes comme chez les partisans de l' Algérie française ». Le 8 janvier 1961 se tient le référendum sur l'autodétermination. À cette occasion, 75% des Français approuvent la politique du général de Gaulle. Désireux de forcer son avantage, le FLN organise à Paris une manifestation nocturne qui tourne au drame le 17 octobre 1961. Le cessez-le-feu, officialisé le 19 mars 1962, est suivi une semaine plus tard d'une manifestation désespérée et sanglante des Algérois. Le jour même de l'indépendance, le 5 juillet 1962, la population européenne d'Oran est sauvagement massacrée. Les musulmans loyalistes harkis » qui ont été empêchés de s'enfuir par les autorités françaises sont eux-mêmes victimes de cruelles représailles. On évalue à 1600 le nombre d'Européennes enlevés après les accords de cessez-le-feu et à plus de 50 000 le nombre de harkis massacrés. L'immense majorité du million d'Européens établis en Algérie choisit l'exil en métropole la valise ou le cercueil », mettant fin à 130 ans d'Histoire. Publié ou mis à jour le 2022-03-17 220326
Demande de copie d’actes d’état-civil pour un évènement survenu en Algérie – naissance, mariage ou décès. 1 - Actes détenus par les autorités françaises Si la naissance, le mariage ou le décès s’est produit après l’indépendance de l’Algérie et a été dressé ou transcrit par un consulat ou par le Bureau des Transcriptions Maghreb à Nantes, l’acte se trouve au Service central de l’état-civil. Le Consulat Général de France à Annaba et Constantine n’est pas dépositaire de ces actes. En outre, environ un tiers des actes établis avant l’indépendance ont été récupérés et sont conservés à Nantes. En conséquence, les demandes d’actes d’état-civil relatives à des actes dressés en Algérie antérieurement ou postérieurement à l’accession de cet Etat à l’indépendance, et concernant des personnes de nationalités française, doivent être effectuées soit par courrier auprès du Service Central de l’Etat-Civil, 11 rue de la Maison Blanche 44941 – NANTES CEDEX 9, soit via internet en utilisant la demande en ligne ici. Vous recevrez votre documents sous quelques semaines par voie dématérialisée. Pour un évènement naissance, mariage, décès survenu en France, s’adresser directement à la mairie française du lieu de l’évènement. Pour la plupart des communes, cette demande peut être effectuée en ligne. Depuis 1993, toutes les transcriptions d’actes concernant des évènements naissance, mariage, décès survenus à des ressortissants français sur le territoire algérien, sont effectuées Nantes, à l’adresse ci-dessous BUREAU DE TRANSCRIPTION POUR LE MAGHREB 44941 – NANTES CEDEX 09 2 – Actes établis en Algérie avant l’indépendance et non détenus par les autorités françaises. Il convient de s’adresser directement au Président de l’Assemblée Communale de la ville où est survenu l’évènement. L’envoi d’un coupon réponse international, et d’une enveloppe pré-adressée est recommandé. Les codes postaux peuvent être obtenus ici Les correspondances entre noms des villes avant et après 1962 peuvent être obtenues ici Des informations peuvent être obtenues ici 3 – Actes d’état-civil datant de plus de 100 ans. S’il s’agit d’un acte établi il y a plus de cent ans et le Service Central de l’état-civil à Nantes vous a indiqué que cet acte ne figurait pas aux registres détenus par ce service, vous pouvez vous adresser aux deux services suivants, qui pourraient les détenir mais sans certitude au Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères – Direction des archives – département des archives historique – 3, rue Suzanne Masson – 93126 LA COURNEUVE CEDEX au Centre des archives d’outre-mer – 29, chemin du Moulin de Testas – 13090 Aix en Provence.
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